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dedicacemairymainville
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Catégorie :
Blog Actualité
Date de création :
05.02.2009
Dernière mise à jour :
08.06.2009

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le coeur du drame, Sébastien Weiss

Publié le 08/06/2009 à 13:42 par dedicacemairymainville
le coeur du drame, Sébastien Weiss
Ne comptez pas passer un bon moment en lisant le livre de Sébastien Weiss.

Ne comptez pas passer un moment léger, sympathique, délicat, fictif.

Il ne s'agit pas d'un roman, ni d'une oeuvre d'imagination, il s'agit des souvenirs d'un petit garçon.

Un petit garçon qui a vu ses rêves de môme, ses chouettes rêves de môme, anéantis en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire, partis en fumée, dans un terrible drame.

Ne cherchez pas le style, les envolées lyriques, ce n'est pas cela.



C'est un témoignage et une réflexion, c'est un travail sur soi.

L'auteur a visiblement entrepris un parcours initiatique, de recherche et de retour sur les événements.

C'est poignant, c'est très fort, ça remue et ça remet deux trois idées en place concernant la vie et la chance que nous avons, chacun, confortablement assis dans notre coton.

Lisez ce témoignage, lisez cela et n'oubliez jamais: vous n'êtes pas à l'abri, nous ne sommes pas à l'abri. Personne n'est à l'abri et ce petit livre, court, dense, intense nous le rapelle sans cesse.



Sous couvert d'une grande sensibilité, il s'agit là d'une analyse fine sur le travail de deuil ( il a perdu ses illusions et ses rêves d'enfant ), sur les relations familiales et la construction de sa propre personnalité malgré le traumatisme qui le hantera longtemps.



Néanmoins, une critique : j'aurais aimé, en tant que lectrice, un chapitre sur les démarches pour retrouver toutes les pièces du puzzle.



Allez visiter ses sites, n'hésitez pas à les découvrir



http://sebastienweiss.skyrock.com/

http://www.theatresetshows.com/

http://www.sebastienweiss.com/

http://salon2m.e-monsite.com/

"nièce de..." de Suzy Leblanc

Publié le 08/06/2009 à 09:55 par dedicacemairymainville
"nièce de..." de Suzy Leblanc

« Nièce de... » de Suzy le Blanc.
L'auteure nous conte, dans cet ouvrage en 2 parties, l'enfance puis
l'adolescence et les débuts de la vie d'adulte de Lisa, petite fille de la guerre, petite
fille sans nom, confiée à sa tante Jeanne, dans cette belle région des Pyrénées.
Nous y découvrons la bourgeoisie des années d'après-guerre, privilégiée,
avec son personnel de maison, son éducation stricte, ses métiers respectables. Et
Lisa... Lisa que nous suivons, avec parfois une certaine monotonie, à tous les âges de sa
vie. Lisa qui découvre, Lisa soumise, Lisa trop sage, Lisa, Lisa, Lisa...
Suzy le Blanc se sert d'un grand nombre de détails sur la région et ses
coutumes. On y sent le soleil et la douceur de ses étés, la rudesse de ses hivers. On
pourrait même sentir l'odeur de la cuisine!
A l'opposé, les sentiments sont peu marqués, fondus dans une description de l'instant qui
laisse peu de place à l'imagination.
Enfin, ce roman nous emmène dans le cheminement de la construction de
l'identité de chacun d'entre nous, lié à sa propre histoire, comme cette petite fille,
nièce de...
Facile à lire, ce roman est adapté aux ados qui seraient passionnés par
l'histoire romancée de cette période d'après-guerre.

le droit d'aimer, d'Eurydice Reinert

Publié le 03/06/2009 à 16:35 par dedicacemairymainville
le droit d'aimer, d'Eurydice Reinert
« Le droit d’aimer » ou un peu d’amour, s’il vous plait !



d’Eurydice Reinert Cend



Elyse vit en Alsace. Elle se livre dans ce roman à la construction insolite : scindé en parties distinctes, celui ci est surtout une réflexion philosophique sur l’amour et la vie.

Enfant, elle rêve d’un avenir tout simple : un couple heureux, une vie de famille, un bonheur quotidien simple. Elle ne cherche ni la grande aventure ni la richesse .

Elyse est une battante sentimentale : elle affronte les difficultés de la vie sans jamais perdre espoir ni l’envie d’être aimée et amoureuse.

Elle ne cherche rien d’autre que le bonheur de ses enfants.

Je me souviens que lorsque son mari la battait elle ne songeait qu’à une seule chose : éloigner les enfants de cette situation et les mettre à l’abri.

L’influence poétique est flagrante dans ce roman parce qu’il y a beaucoup de comparaisons et de métaphores au style très lyrique.

Ne vous y trompez pas, ce texte n’est pas seulement une petite histoire d’amour , ce n’est pas non plus uniquement une réflexion philosophique mais Eurydice Reinert nous donne là à goûter une friandise acidulée écrite avec des mots tendres, qui piquent parfois, effleurant des sujets douloureux.

On y traverse une galerie de situations et de sujets délicats tels que l’adultère, la toxicomanie, l’après guerre, qui réveillent le lecteur et sa fibre émotive tout comme sa cervelle.



Un détail néanmoins qui peut plonger le lecteur dans la perplexité : ce roman est écrit au passé, exclusivement, ce qui a pour effet de laisser toujours un doute sur la situation présente et la situation passée. Le flou obtenu masque le présent et nous plonge dans le passé.



Je conseille ce livre à tous les amoureux de poésie, c’est un roman qui se lit vite tant on est absorbé par l’histoire.

les chemins de l'espérance

Publié le 27/05/2009 à 08:09 par dedicacemairymainville
les chemins de l'espérance
Les chemins de l’espérance



Christian Krika, aux éditions de l’officine.



Plongée à mon corps défendant dans ce livre, je ne m’y suis pas noyée. Bien au contraire, j’y ai trouvé une bouffée d’oxygène.

Entre ce bouquin et moi, pourtant, c’était pas gagné.

Comment vous dire ? une défiance ( je connais l’auteur !) une réticence, une peur même . Si, je vous jure, amis lecteurs, j’ai eu peur !

Encore un livre sur le terroir ! me soupirais-je alors à moi-même.

Encore un livre qui va chanter la lorraine et tous ses merveilleux paysages et sa douceur de vivre et son histoire forte et unique et ses privations et gnagna gna et gna gnian !

Bref, comme à un premier rendez-vous après des mois de célibat, comme un rendez-vous dans un café minable, hypnotisée par un bol de cacahuètes, ce livre m’attendait. Ou plutôt , ce livre nous attend tous.

Je te l’avoue, auteur du livre, j’ai eu du mal à me mettre dedans. J’ai eu peur qu’on plonge dans le « cucul la praline » à fond les bicyclettes, j’ai eu peur du côté « ooooh ma terre ! »

J’ai beau être sentimentale, j’ai du mal avec les clichés à pépère.

Mais un petit déclic a eu lieu.

J’ai rencontré les personnages de ce livre. J’ai avancé et découvert avec eux.

L’endroit du décor puis l’envers vécus et décrits si différemment, le quotidien si simple d’accès de ces pécores comme on en a tous dans notre arbre généalogique, les saisons qui passent et les évènements tragiques qui ont secoué la France, tout cela m’a happée, chopée, assaisonnée.

Une mention spéciale à la truculence des dialogues doit être portée aux nues, réellement car si Krika maîtrise sa prose, il est vraiment au plus juste dans les dialogues auquel un soin tout particulier semble avoir été apporté.

Une critique, cependant , Christian, pour ce livre qui ne m’a finalement pas laissée de glace….Oserai-je ?

Oui, j’y vais, je me lance : Christian Krika, je le dis au nom de tes lecteurs et au nom de ceux qui ne vont pas tarder à le devenir, on sent trop de retenue dans l’écriture. Lâche-toi, ça n’en sera que meilleur.



Bref, un roman incontournable, plein d’une émotion retenue toute lorraine, un ouvrage quasi cinématographique où la vie d’amis coule tant bien que mal, avec toute l’imperfection humaine qui nous parle à tous, un livre qu’il faut lire.

Oui, je sais, on me reprochera ma dernière phrase un peu bateau mais j’ai aimé ce livre pour la dimension extraordinairement humaine qui s’en dégage.

Lorrains, vous y retrouverez tous les vergers où vous maraudiez enfants, les autres, vous y retrouverez votre terre natale à vous, tant ce livre est un hommage à la vie, à la famille et aux engagements que l’on prend dans une vie, au sens profond que l’on souhaite pour la sienne propre en accord avec les siens et la terre qui nous a vu naître.




Allez lui rendre visite



http://christiankrika.blogspot.com/




"Je viens d'en terminer la lecture. C'est un livre touchant que l'on sent plein de souvenirs personnels, familiaux.
La ponctuation assez fantaisiste, surtout au debut du livre, pose parfois quelques problemes pour la lecture.

La fin du livre,qui se passe dans le Vercors est interessante et eveille bien des echos chez les gens de ma
generation qui, en d'autres endroits de France, ont vecu le meme genre de situation."



" Ce livre est simple et touchant. Il nous livre les souvenirs très personnels de familles paysannes de Lorraine et de Savoie, confrontées aux horreurs des guerres 14-18 et 39-45. La logique de la guerre s'empare des membres de ces familles, mobilisation, séparation, blessures, mutilation, exode, famine, douleurs...
L'histoire est écrite avec les mots simples du quotidien, mais le style est un peu trop simple pour un récit sans images. Le texte serait excellent dans une bande dessinée. Les situations de la vie ordinaire des paysans lorrains et savoyards, des résistants du Vercors, et des évènements de la guerre seraient valorisées par l'image.
Des petits paragraphes dans le récit relatent les événements extérieurs au quotidien de ces familles qui les subissent. Sans images, ces micro-événements font penser à du copier-coller de manuels d'histoire, de journaux ou de cahiers personnels de souvenirs. C'est un peu dommage, et la ponctuation n'est pas toujours non plus à la hauteur du récit."




le face à main brisé, de Hélène Arvel

Publié le 06/05/2009 à 12:00 par dedicacemairymainville
le face à main brisé, de Hélène Arvel
Le face à main brisé

Hélène Arvel, aux éditions Dulau, mars 2004


Allez, j'avoue... je suis une grande sentimentale. Je pleure, je larmoie, j'ai la larme à l'oeil facile, hélas ! Oui, je dis hélas, si si , pauvre lecteur car cela m'empêche quelques fois de voir les choses comme elles sont vraiment. Là, ce n'est pas le cas. Ce roman d'Hélène Arvel est à son image : sobre, généreux, ancré dans ses racines lorraines et heureux. Il nous emmène tout près et si loin, de mésaventures en fêtes familiales, au fin fond de la meurthe et moselle puis ailleurs.
Le style clair et maîtrisé livre ici un roman à la fois simple et profond, que j'ai senti éminemment sincère et fort de significations pour l'auteur.
Oserai-je dire qu'il ne faut pas être lorrain pour s'en régaler? Mais si tu es lorrain, ami lecteur, alors, tu retrouveras au détour de certaines pages, de descriptions parfaitement orchestrées et senties l'odeur du vieux bahut familial ou les porcelaines qui dit on sont dans la famille depuis .... pffff !
Voilà ce qu'est le récit d'Hélène Arvel : une histoire, inventée mais puisée dans des souvenirs lorrains, toute simple mais singulière. Quelques hommes, quelques femmes qui vivent cahin caha parfois mais toujours avec fougue. L'amour, l'éducation, la sincérité, la fierté y ont des places de choix. N'attends pas, ami lecteur, de lire une épopée époustouflante, aucun tour de magie ni dépaysement insolite. Tu entres là et tu fais bien dans la vie de tes aïeux, avec leurs déboires, leurs difficultés, leurs joies et leurs soucis. Cela n'a rien d'exceptionnel.
Ce qui est particulièrement marquant dans le roman d'Hélène Arvel, c'est la façon dont elle met en avant les qualités ou les défauts de l'homme, de la femme à travers de minuscules anecdotes ou des histoires , mésaventures douloureuses.
Le roman est scindé en deux parties égales. Egales, elles le sont dans leur taille et le soin apporté à chaque détail mais aussi dans l'intensité émotionnelle. Je ne souhaite pas briser ton plaisir, lecteur gourmand, de découvrir de quoi sont faites ces deux insolites parties.
Ce roman est un roman, ne vous y trompez pas et puisez y , s'il vous plait de vous y immerger, la force, l'ardeur, l'affection qu'il faut pour une vie de travail, de partage, d'apprentissage et de jolies choses. C'est un témoignage fictif, fort ancré dans une réalité qui pourrait encore être d'actualité;
Un roman du terroir pour tout lecteur avide de voir sa terre natale quelle qu'elle soit et la vie en général avec un regard généreux et ouvert.

Je voudrais me permettre une petite citation du livre parce que cette phrase m'a particulièrement parlé :


d'autres mères de famille devenaient, sans l'avoir jamais souhaité, quelquefois pour un court laps de temps, mais tout de même dans les mêmes conditions , des femmes de lessive, c'est à dire qu'à longueur de journée au lavoir ou dans une cave réservée à cet usage elles allaient battre, frotter, tordre le linge des autres , plus nanties qu'elles, le froid leur " montant au coeur " comme elles disaient, les mains gelées et crevassées afin de rapporter une obole pour laquelle il fallait dire de grands mercis.

Allez lui faire une visite, prenez le temps de découvrir cet écrivain lorrain.

http://www.helene-arvel.fr/

salon de mairymainville

Publié le 01/04/2009 à 12:00 par dedicacemairymainville
salon de mairymainville
la grande migration : les livres reviennent passer un salon au chaud !

affiche de roi !

Publié le 01/04/2009 à 12:00 par dedicacemairymainville
affiche de roi !
un salon où le livre est roi , j'avoue que je l'aime bien celui là !

affiche

Publié le 01/04/2009 à 12:00 par dedicacemairymainville
affiche
voilà ! Notre copain ERIX nous propose trois projets d'affiche pour le salon


N'hésitez pas à nous dire laquelle a votre préférence !

Eurydice

Publié le 26/03/2009 à 12:00 par dedicacemairymainville
Eurydice
Non, non, je ne vais pas vous endormir avec de la mythologie mais simplement, vous présenter ce poème scandé sur fond musical de ma collègue et amie Eurydice Reinert .

http://www.talentzapping.com/EuryRCend

cliquez sur la flèche, ça devrait bien se passer !

http://www.euryuniverse.com/

villerupt

Publié le 25/03/2009 à 12:00 par dedicacemairymainville
villerupt
Samedi 28 et dimanche 29 mars 2009 de 10 à 18 heures

A l'occasion de la
9e édition de "LIVRES en FÊTES"

à Villerupt (54)

Suzy LE BLANC,
Nathalie ROUYER,
Gérard COPPENS
et Rémy de BORES

dédicaceront leurs ouvrages
--

Rémy DEBORD

Président des éditions REBELYNE



tel : 09 50 55 52 88

Fax : 09 55 55 52 88


http://www.rebelyne.com